À Saint-Léger suis réfuigié, J.C. Pirotte
un poème d’après-mididans une atmosphère immobileon dirait presqu’un paradissi le temps n’était pas mobile et ne traversait le jardincomme le merle à cet instantdans une lumière d’étainsi le temps n’était pas le temps et ne laissait l’après-midià la merci des contreditssi le jour n’était pas à jour et pouvait faire demi-toursi les busards et les autoursn’annonçaient pas la fin du jour