Passant de la lumière, B. Bonhomme
Et désormais tu dors en moi avec tes mains de gisant, avec tes yeux couleur de menthe.
Tu dors avec tes mains feutrées, la croix posée sur tes matins et maintenant tu restes couvert des larmes du silence.
Et désormais, demeure en moi avec ton corps de pierre, ta respiration de dormeur dans l’eau originelle des matins de lumière.